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• Les enfants inscrits avec l’aide des projets/projets ont été maintenus. L’étude a observé un taux d’abandon précoce d’environ 12% aux cours des 2 dernières années contre un taux de 20 à 28% avant la fin du projet. Cet impact a été obtenu grâce aux efforts conjugués des autorités scolaires, des structures de gestion de l’école et des organisations communautaires impliqués dans la gestion de l’école. Les AGR mis en œuvre par les femmes avec l’appui du projet ont également contribué au maintien des enfants à l’école. Des nombreuses femmes ont indiqué qu’elles contribuent à l’entretien des enfants (élèves) et à leur dotation en fournitures à partir des revenus générés par leurs activités. • D’une manière générale, le travail des enfants a fortement diminué ou même éradiqués dans les zones d’intervention des projets/programmes. Les travaux qui continuent à occuper les enfants sont les travaux ménagers pour les filles (balayer, chercher de l’eau, aider les mamans à la cuisine, etc.) et des travaux d’entretien (donner à manger et à boire) des animaux de case (mouton, chèvres, bœufs) pour les garçons. Tous ces impacts ci-dessus évoqués sont attribuables aux projets/programmes soutenus (Denko, FAABA, PEERSD, PEPERSD et ZLTTE Markala). Ces résultats positifs sont dus à : • La pertinence des projets : Les objectifs et activités des projets correspondaient aux besoins des villages dans les zones d’intervention, Ils étaient « bienfondés » par rapport à la situation de l’éducation des enfants notamment ceux qui vivent dans des situations difficiles. • Une approche multi-acteurs : Les projets ont assuré une collaboration/concertation entre tous les acteurs clés de l’éducation au niveau local (parents d’enfants, enfants, écoles, Etat, etc.). Cette collaboration est complexe mais elle a été essentielle pour parvenir à des résultats durables. • Un accompagnement de proximité tout au long de la mise en œuvre des projets. 25

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